markdown JPA ORM
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篇首语:本文由小常识网(cha138.com)小编为大家整理,主要介绍了markdown JPA ORM相关的知识,希望对你有一定的参考价值。
## La persistance des données avec JPA
- Littéralement « Java Persistence API », il s’agit d’un standard faisant partie intégrante de la plate-forme Java EE, une spécification qui définit un ensemble de règles permettant la gestion de la correspondance entre des objets Java et une base de données, ou autrement formulé la gestion de la persistance.
- Ce mécanisme qui gère la correspondance entre des objets d’une application et les tables d’une base de données se nomme ORM, pour « Object-Relational Mapping ». Ainsi dans le sens le plus simpliste du terme, DAO n’est rien d’autre qu’un ORM… manuel !
- Lorsqu’on parle de JPA, il s’agit uniquement d’une API, c’est-à-dire une description d'un comportement à suivre, en l'occurrence pour respecter un standard en place.
- les interfaces de JPA décrivent comment respecter le standard, mais nous devons utiliser une implémentation pour en tirer parti ! Hibernate, EclipseLink & consorts sont des implémentations du standard JPA.
- Si le dévoloppeur utilise des fonctionnalités spécifiques à un framework en particulier, c’est-à-dire une des fonctionnalités qui ne sont pas décrites dans le standard JPA, alors il s’expose au risque de ne plus pouvoir faire machine arrière (choisir une autre solution de persistance) sans devoir modifier le code de son application.
- Donc l’avantage de disposer d’un standard bien défini : à partir du moment où l’on fait du JPA, peu importe l’implémentation utilisée, le code applicatif sera identique, et donc portable.
- Le fonctionnement de JPA est basé sur deux briques principales :
- Des EJB « Entity » : ce sont des objets ressemblant très fortement à des JavaBeans, dans lesquels des annotations définissent des correspondances entre les objets et leurs attributs d'un côté, et les tables relationnelles de la base de données et leurs champs de l'autre (on parle alors de mapping relationnel/objet).
- In EntityManager : c'est une classe qui est chargée de mettre en musique les correspondances définies dans les entités, et qui réalise donc toutes les opérations CRUD (Create, Read, Update, Delete) sur la base de données.
- Tomcat ne gère pas les EJB de manière native. Et sans EJB pas de JPA.
## Analyse des requêtes SQL générées
Vous pouvez analyser les requêtes SQL effectuées par un EntityManager en activant l'écriture de logs depuis son unité de persistance dans le fichier persistence.xml.
```
<persistence-unit name="bdd_sdzee_PU" transaction-type="JTA">
<jta-data-source>jdbc/bonecp_resource</jta-data-source>
<class>com.sdzee.entities.Utilisateur</class>
<!-- Pour eclipselink -->
<properties>
<property name="eclipselink.logging.level.sql" value="FINE"/>
<property name="eclipselink.logging.parameters" value="true"/>
</properties>
<!-- Pour hibernate -->
<properties>
<property name = "hibernate.show_sql" value = "true" />
</properties>
</persistence-unit>
```
## Principe général
- Les EJB sont des objets présentant une caractéristique bien particulière : ils sont gérés par le conteneur. Attention, quand on parle ici de conteneur il n’est plus question du simple conteneur de servlets que nous avons utilisé jusqu’à présent ! Non, il s’agit bien ici de « conteneur EJB », un élément dont le travail est de gérer entièrement le cycle de vie des EJB qu’il contient.
- Il existe deux types d’EJB : les EJB Entity, et les EJB Session. Celui qui sert de pilier à JPA est le premier, et le plus simple à appréhender : l’EJB Entity. C’est lui qui définit quelles données doivent être sauvegardées, et c’est à travers lui qu’est effectuée la correspondance entre un objet et une table d’une base de données.
- En apparence, c’est un objet qui ressemble beaucoup à un simple Javabean, dans lequel on ajoute simplement quelques annotations. Ces informations sont ici utilisées pour informer le conteneur d’EJB de la manière dont l’objet devra être géré.
- Les méthodes permettant d’établir une connexion avec la base de données et de gérer la persistance se trouvent dans un objet particulier nommé EntityManager, ou gestionnaire d'entités. Il s’agit, là encore, d’un objet dont le cycle de vie est géré par le conteneur.
- Cet objet se base sur des informations que le développeur doit saisir dans un fichier de configuration externe, que nous allons découvrir prochainement et qui n’est rien d’autre qu’un simple fichier XML.
- L'injection d'EJB dans une servlet est exclusivement réservée aux EJB de type Stateless.
- Il ne faut jamais procéder à l'injection d'objets Stateful dans une servlet : cela causerait très probablement des comportements non souhaités, que vous ne pourrez déceler qu'après des tests poussés.
## propriétés d'un EJB Stateless :
- Aucune donnée n'est retenue ni enregistrée, c'est-à-dire qu'aucun état n'est retenu. On dit alors que l'objet est sans état, ou Stateless.
- Aucun mécanisme ne garantit que deux appels consécutifs à une méthode d'un tel EJB visent une seule et même instance ** ;
- Les accès concurrents sont impossibles, mais le système est threadsafe tout de même puisque le conteneur envoie les requêtes simultanées vers des instances différentes du même EJB ** .
## propriétés d'un EJB Stateful :
- Des données sont retenues dans l'objet après un appel, c'est-à-dire qu'il conserve un état. On dit alors que l'objet est à état, ou Stateful.
- L’accès à une instance de l’EJB est réservé à un seul client à la fois.
- Les accès concurrents sont impossibles, le conteneur gère une liste d’attente en cas de tentatives simultanées.
以上是关于markdown JPA ORM的主要内容,如果未能解决你的问题,请参考以下文章
配置 Spring JPA:无法实例化 [org.springframework.orm.jpa.vendor.HibernateJpaVendorAdapter]
ClassCastException: org.springframework.orm.jpa.EntityManagerHolder 不能转换为 org.springframework.orm.hi